Suis entré dans Lima on aurait dit une ville en guerre. Le champs de bataille la panaméricaine norte. La lumière acre du désert. La poussière des dunes et du diesel. Une armée de camions et de bus en furies. Des taxis mercenaires. Un gladiateur gesticulant sur un vélo. C'etait chacun pour soit. 45 kilomètres de lutte acharnée. Faut être coursiers ou aimer ca (ou les deux) pour survivre. M'en suis donc tiré sans trop de mal. Mais la guerre du transit avait des ressources, et m'a pris par derrière. Le champs de bataille les toilettes de l'hôtel (et c'est pas peu dire!) Objet du litige, la comida servie par "El tiburon", 50 bornes avant Barranca.. Littéralement assiegé nuit et jour par l'ennemi, j'ai d'abord essayé d'imposer un embargo. Mais après 5 jours de bataille, j'ai tiré la sonnette d'alarme, pour appeler la cavalerie pharmaceutique. Les premiers résultats sont encourageants. Ca voulait échapper aux touristes, et c'est rattrapé par la tourista. Qui pensait donc qu'on pouvait feindre sa condition?
dimanche 6 avril 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire